cercle de lecture

Ce soir, il y a cercle de lecture au Tels Quels et il faudrait que j'aie le courage de sortir quand il fait noir. Ce cercle de lecture est très chouette, même s'il se déroule dans la cave d'un immeuble de la place de la L*** dans un quartier où je n'ai pas mis les pieds depuis longtemps.

J'ai trois livres à rendre:

Retour à Sarcelles, de Hélène de M*** que je ne devais pas relire puisque je l'ai lu et relu en son temps.

Un roman de Dominique Fernandez, qui se passe à Naples, mais je n'ai pas eu l'esprit suffisamment libre pour le lire.

Un court roman de George van Eeckhoudt, idem, plutôt sur les mauvais garçons des Marolles,  De lui, j'ai lu Escal-Vigor. 

Mais à côté de ça, j'ai lu quantité de livres, essais ou romans, qui n'étaient pas sur ma liste, pêle-mêle...

Mes parents, d'Hervé Guibert, Pour mon plaisir, j'avais décomposé une de ses phrases. une phrase parfaitement balancée. Evidemment, lire Hervé Guibert n'est pas une entreprise facile. Je m'y étais déjà essayée, il y a bien longtemps, je ne sais même pas s'il était encore en vie.

Deux garçons, de Philippe Mezescazes, qui raconte un peu la même histoire que Guibert, du moins, en partie, car il s'agit de celle qui leur est commune, à savoir leur rencontre dans un cercle de théâtre de la Rochelle. 

 

Une histoire qui se passe dans un lycée (Louis Lambert...) Pour tous ces livres, j'ai parfois laissé des critiques sur Babelio.

Récemment, de Willy/Ménalkas, un étrange roman des années 20. L'ersatz d'amour. plus décadent et modern style qu'années folles à vrai dire, il commence à l'été 1913 (exactement comme mon roman), pour se terminer en 1914, comme on peut l'imaginer. L'ersatz d'amour est une réédition (suivie de l'autre roman de Ménalkas, c'est-à-dire Suzanne de Caillas, artiste) critique agrémentée d'une préface, de notes extrêmement pointues sur cette période, l'avant-guerre et la guerre 14-18, côté français et côté allemand, puisqu'un peintre français, en villégiature, rencontre un militaire allemand dans une ville allemande, qui n'est pas Hambourg.  Aux éditions GayKitschCamp.

Je ne suis pas sûre que si j'écris sur tout ce qui m'a occupé.e pendant ces derniers mois, voire, ces deux dernières années, je trouverai beaucoup de lecteurs.  Encore moins qu'à l'époque où je tenais mon blog. 

Je ne suis même pas sûr.e d'être la même personne qu'il y a trois ans. Probablement que non.  Ou que oui. Mais avec des changements.

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